| Le soleil se couche bien loin de nous [18005] |
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| Posté le : 31/05/2018 à 17:12 (Lu 4013 fois) | | |
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18006] |
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| Posté le : 31/05/2018 à 17:13 (Lu 4011 fois) | | |
L’intérieur du Théâtre
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18007] |
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| Posté le : 31/05/2018 à 18:15 (Lu 4005 fois) | | |
J'ai de bons souvenirs du théâtre où chaque fin d'année, nous allions jouer le spectacle répété à la Doctrine.
Je voyais le Chetabah depuis le balcon de ma chambre.
Merci DD
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18008] |
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| Posté le : 31/05/2018 à 18:42 (Lu 3873 fois) | | |
Joli coucher de soleil, jolie photo merci.
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18009] |
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| Posté le : 31/05/2018 à 20:27 (Lu 3992 fois) | | |
Jeanne où habitiez vous pour voir le Chetabah du balcon de votre chambre.
Moi je le voyais depuis le balcon qui partait de la cuisine à la chambre de ma soeur
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18010] |
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| Posté le : 31/05/2018 à 21:33 (Lu 3988 fois) | | |
J'habitais dans la maison Sério, 26 Rue Fronton, Jean;
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18011] |
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| Posté le : 01/06/2018 à 08:57 (Lu 3971 fois) | | |
Et moi j'habitais dans la maison Sério au n° 24 jusqu'à mon mariage en 1954
P'tit Jean
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18012] |
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| Posté le : 01/06/2018 à 15:28 (Lu 3957 fois) | | |
Nous avons déménagé de la Rue Pinget en 57 ou 58 .
Vous souvenez-vous de Moutchou, Jean ?
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18013] |
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| Posté le : 01/06/2018 à 15:45 (Lu 3954 fois) | | |
En 1958 c'est mon beau-frere et ma s½ur (Monsieur et Madame CARBUCCIA qui occupaient l'appartement à l'entre-sol du 24 rue Fronton.
Moutchou...ça me dit quelque chose mais ma mémoire me fait défaut à moins qu'il s'agisse du responsable du garage du 26
P'tit Jean
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18014] |
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| Posté le : 01/06/2018 à 20:55 (Lu 3941 fois) | | |
Magnifique le theatre de Constantine construit si je ne trompe pas par le même architecte que l'opéra Garnier à Paris ... à l'ouverture , je montais les escaliers quatre à quatre pour essayer d'avoir la petite loge aprés le balcon du poulailler en haut à gauche avec la rambarde métallique .... que de souvenirs ....
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18015] |
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| Posté le : 01/06/2018 à 22:19 (Lu 3937 fois) | | |
Moutchou était l'homme à tout faire. Pas fufute, mais gentil.
Il s'occupait de la surveillance et on le croisait facilement. Il s'occupait aussi de poubelles et peut-être d'autre chose.
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18016] |
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| Posté le : 02/06/2018 à 08:57 (Lu 3921 fois) | | |
OK c'est bien lui
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18017] |
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| Posté le : 02/06/2018 à 16:37 (Lu 3899 fois) | | |
Souvent nous faisions des concerts avec le Plectre ou Le groupe au Théâtre, ce qui me permettais de connaitre les coulisses par c½ur au grand dam du gardien. Une fois j'avais entraîné sous la scène mon ami André Guy pendant un gala ou il y avait la classe de danse de Me Seran qui se produisait, nous étions en pantalon bleu marin, chemise blanche. Le but était de s'installer dans la trappe du souffleur, pour faire rire les danseuses. En passant sous le plancher de la scène au milieu des cordages, toiles d’araignées et autres merdes qui y traînaient, on était déjà pas mal poussiéreux (pardon Maman  ). Mal nous en a pris, tout d'un coup elles se sont toutes mises à sauter ensemble, un troupeau de bisons courait au dessus de nous, on aurait dit que ça allait s’écrouler sans compter les tonnes de poussières qui nous sont encore tombées dessus. On avait pas besoin de ça, l'heure du concert de l'orchestre avançait, on est ressorti en cavalant des entrailles du Théâtre, mais on a pas pu se nettoyer correctement. Putain l'engueulade de nos pères, surtout qu'on devait faire un trio de guitares avec l'ami Camille Mazella qui lui était impec loin de se douter d'ou on venait  On a été 'consignés' dans la loge qui était juste sur le coté de la scène en attendant l'heure avec l'ordre de ne pas bouger, c'est celle ou nos pères pouvaient nous surveiller depuis les coulisses de la scène. Qu'est ce qu'on devait avoir 15-16 ans et 12-13 pour mon ami. On rigole tjours avec cette histoire, bien qu'il y est eu d'autres conneries flamboyantes à notre actif. Josette entrait dans ma vie, mais on fréquentait pas encore. Dans cette fameuse loge, il y avait un mec mort de trouille qui devait se produire à l'entracte, mon Dieu qu'il était vilain mais mon Dieu qu'il avait peur  , on avait fait la connaissance du futur Enrico. Bon c'est vrai qu'il a gagner plus de rond que nous avec la musique, mais il a eu de la chance que nous ayons décidé de ne pas poursuivre 
Allez un peu long, mais quand ça remonte, ça remonte comme disent les Belges aprés 7 ou 8 litres de bière 
Exact P'tit Jean, ces théâtres faisaient parti des Théâtres dit 'à Italienne' avec la fosse d'orchestre qui sépare le public de la scène (si je ne m'abuse ... je vais verifier)
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18018] |
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| Posté le : 02/06/2018 à 18:50 (Lu 3869 fois) | | |
jolie photo de ce chettaba,que je pouvais voir tout les soirs au coucher du soleil, et même l'l'hiver ,lorsqu'il mettait son manteau blanc, depuis le boulevard de l'abîme exellent endroit pour admirer,cb
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous |
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| Posté le : 03/06/2018 à 10:57 (Lu 3840 fois) | | |
DD tu es impayable !
Tu as dû en faire voir des vertes et des pas mûres à tes parents. Tu ne manquais pas d'idées pour faire des conneries. Mais c'est le propre des garçons.
Maintenant qu'ils sont tous majeurs, j'en apprends tous les jours de mes petits-fils et de leurs bêtises à la maison. Je me marre et ça les étonne
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18020] |
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| Posté le : 03/06/2018 à 11:37 (Lu 3857 fois) | | |
Question sûrement incongrue sur notre théâtre et mes souvenirs d'enfance.
Chaque année mes parents s'abonnaient à la saison théâtrale c'est dire qu'entre 6 et 10 ans j'ai eu l'occasion d'y aller, d'où ma passion - entre autres - pour l'opérette ...
Lors de chaque entr'acte les spectateurs se ruaient sur les WC situés dans le virage des escaliers et faisaient la "chaîne" , je la faisais avec eux bien sûr !
Là, j'ai le souvenir de WC uniquement à la turc qui me posaient toujours problème votre avis ?
Maya
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18021] |
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| Posté le : 03/06/2018 à 11:41 (Lu 3856 fois) | | |
Citation : -jean Tomasi-
Jeanne où habitiez vous pour voir le Chetabah du balcon de votre chambre.
Moi je le voyais depuis le balcon qui partait de la cuisine à la chambre de ma soeur |
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Bonjour, perso tout les jours je pouvais voir ce paysage
depuis la maison de mes grands parents Mélési au 10 rue de Valmy
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18022] |
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| Posté le : 03/06/2018 à 11:54 (Lu 3855 fois) | | |
vous aurez deviné que c'est philippe qui signe le message posté le : 03/06/2018 à 11:41, enregistrement intempestif de mon message en cours. Je voulais ajouter qu'à notre âge de cette époque, on se souciait peu d'un couché de soleil sur le Chettaba, il faisait partie de notre décor et de notre quotidien. Mais la nostalgie a de bon qu'elle ne conserve que les bonnes choses ou celles qui parfois sont fantasmées.
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18023] |
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| Posté le : 03/06/2018 à 17:46 (Lu 3834 fois) | | |
Citation
Lors de chaque entr'acte les spectateurs se ruaient sur les WC situés dans le virage des escaliers et faisaient la "chaîne" , je la faisais avec eux bien sûr ! |
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Tiens !! est ce un coin que j'ai épargné au théâtre, moi je faisais dans un magnifique piano à queue qui était dans le foyer derrière la scène non !! bien sur je rigole. Je ne me rappelle pas de ces wc qui ne devaient pas être tristes quand le spectacle reprenait 
Les opérettes, que de souvenirs ça aussi, quelle rigolade. Dés fois je faisais figurant, la garde montante dans Carmen avec les calots en papiers et un bâton pour fusil. Je me souviens d'une opérette (le nom m’échappe mais je le retrouverai) ou une vraie roulotte de gitan traverse la scène, mais chez nous, faute de moyens et le décor trop petit, ils avaient pris une petite charrette avec des enfants dedans habillées en boumians, tirée par un âne. Mal leur en a pris, le bourricot ne voulait pas avançait, ils l'ont presque porté, les gosses étaient morts de peur, ça gueulait, la salle était hilare. Pour couronner le tout au milieu de la scène, l'animal aux grandes oreilles s'est encore arrêté pour la totale : il a fait une merde digne d'un éléphant qui a embaumé toute la salle, après la dernière goutte, il a daigné retourné dans les coulisses.
Les anecdotes du théâtre de Constantine, j'en ai plein la tête, il y a de quoi écrire un livre, c’était un endroit un peu magique . Aux miennes se rajoutent celle de mon père qui jeune, faisait régulièrement le figurant et jouait dans l'orchestre.
Punaise !! on avait pas la télé, mais on s’ennuyait pas. Ce coup ci je devais être au poulailler, mon endroit préféré d'où on en raté pas une
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Edité le 03/06/2018 à 17:48 par aadment
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| Re: Le soleil se couche bien loin de nous [18024] |
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| Posté le : 04/06/2018 à 09:47 (Lu 3801 fois) | | |
DD je peux te dire que j'ai vécu l'anecdote du bourricot et que je m'en souviens très bien, le public a eu du mal à arrêter de rire ! le nom de l'opérette m'échappe peut-être Véronique ou la Mascotte ... pas sûr.
Lors des Mousquetaires au couvent également je revois un comédien devant dire en se courbant devant une bonne soeur "ave ma soeur" et ne se souvenant pas de la suite l'a répété plusieurs fois d'affilée avant d'entendre le souffleur ...rire général !
Maya
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