D'abord s'il faisait plus chaud chez nous, le plafond atmosphérique était plus haut ce qui nous permettait de ne pas suffoquer comme ici. Les nuits étaient plus fraîches. La gargoulette nous permettait de déguster une bonne anisette. Des serviettes mouillées sur les bords des fenêtres servaient à humidifier l'air.
Et puis chez nous c'était mieux pour tout.
P'tit Jean
c'est surtout que l'air était sec et que nous avions 60 ans de moins (ce qui n’empêchait pas les insolations, la prière avec le verre sur la tète et la fiévre à 40 )
---------- Edité le 11/08/2018 à 09:19 par aadment
Le plus dur c'était le Sirocco.
On gardait toutes les fenêtres bien fermées après la grande aération du matin.
Enfants, on ne comprenait pas le silence qu'il fallait respecter pour les parents. Pour nous c'était le moment des fous-rires qu'on croyait silencieux.
Quant aux soirs, comme on avait de grands balcons, on descendait les rideaux de toile et on tirait les matelas où on dormait jusqu'au lever du jour
La maman de Roger me racontait,que le matin de bonheurellenlavait le parterre a grand eau et aprés elle fermait fenétres et volets,pour que cela garde le frais,et l'aprés midi la sieste,mais comme Roger et Riri faisaient le cirque pendant la sieste,Mme Serra etait en dessous elle criait par le balcon,tata Chounette ,Roger et Riri m'ont empéché de faire la sieste,et mon Roger et Riri avaient droit a la savatte.
Bonjour JPS,nous aussi dans les Ardennes ,on remplissait le réservoir de fly tox et on pulvérisait dans les chambres le soir noue on ne faisait pas la sieste a cette époque.bon weekend de l'Assomption féte de la maman à Roger,Janine Anna.
Allons nous rafraîchir autour d'un barbecue estival ou la température atteint les 80° à l'ombre pour nous délecter de merguez chaudes, de chipos chaudes, de cuisses de poulets chaudes, de brochettes chaudes ...
Mais quoi ??? que se passe t'il ??? tout le monde est à l'ombre, le cuistot torse nus de préférence en été, se fait rôtir le bid jusqu’à avoir des cloques, mais peu importe, la mission d'abord rafraîchir la populace qui salive en plus de transpirer
Heureusement le verre de rosé est frais, mais a force d’être au soleil et dans la fraîcheur du rayonnement des charbons ardents voici t il pas qu'on dirait de la pisse d’âne saoul ??
Alors romantisme aidant, voici de bons souvenirs qui affluent vu le cagnard, tel des mirages dans le Sahara, l'odeur des charrettes de notre enfance en bas des esses quand on aller chez Totor.H ou au collège. Ma !! che profume !!!
Mais ?? Sont ce des larmes qui coulent, mais oui !! Elles se mêlent à la sueur de mon front, qui goutte après goutte sale un peu plus ce qui cuit
J'm'en fout !! j'en mange pas !! j'vais me sucer un créponné et le passer sur mon bide cuit à point
Toute cette bouffe cuite courageusement au soleil par un cuistot m'a assoiffée. Je rêve d'un grand verre de Ricard glacé.
C'est pas l'heure ?
Je patienterai en attendant l'apéro.